Europe

Et de trois : le Portugal lance à son tour un appel à l’aide financière

La «grève des achats» de la dette du Portugal par les banques du pays a eu raison de la résistance du premier ministre socialiste démissionnaire. Lisbonne, après Athènes et Dublin, va demander l'aide financière de l'UE (et certainement du FMI) afin d'éviter l'asphyxie.

Philippe Riès

La «résistance» de José Socrates aura duré moins de deuxsemaines: le premier ministre portugais (démissionnaire depuis le 23 mars mais qui restera en poste jusqu'aux élections du 5 juin)s'est rendu à l'évidence et a décidé mercredi soir 6 avril de lancer un appel àl'aide à l'Union européenne pour affronter une situation financière quiconduisait le gouvernement, les entreprises d'Etat et les banques du pays àl'asphyxie.

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