Économie et social

Nucléaire: les déboires anglo-saxons d'EDF avec son EPR

Tandis que des ministres veulent voir le nucléaire en énergie « durable », EDF subit un revers aux États-Unis et rencontre des difficultés en Grande-Bretagne pour y développer l’EPR.

Jade Lindgaard

La passion de la classe politique française pour le débat nucléaire n’empêche pas les angles morts. Ainsi, la semaine dernière, alors que trois importants ministres du gouvernement (Arnaud Montebourg, Delphine Batho et Manuel Valls) déclaraient voir le nucléaire comme une énergie « durable », EDF subissait un important revers pour ses projets de réacteurs EPR aux Etats-Unis.

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