La commission européenne a validé vendredi 5 février le projet de budget 2016 du nouveau gouvernement portugais tout en estimant que les risques d’infraction aux règles du Pacte de stabilité et de croissance existaient toujours, plaçant Lisbonne sous une surveillance renforcée dont la prochaine échéance est fixée au mois de mai. Pour obtenir ce feu vert, l’équipe socialiste minoritaire d’Antonio Costa a dû s’y reprendre à trois fois, les concessions successives à l'« austérité » atteignant au total 875 millions d’euros, que le premier ministre va maintenant « vendre » à ses alliés parlementaires du Bloc de Gauche et du Parti communiste portugais (PCP).
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