Une lanceuse d’alerte harcelée et discriminée pour ne pas avoir accepté de couvrir les traces de son entreprise, empêtrée dans des pratiques d’organisation d’évasion fiscale à grande échelle. Ou bien une manipulatrice qui se drape dans la vertu pour mieux extorquer de l’argent à son ex-employeur. Deux portraits irréconciliables de Stéphanie Gibaud. Employée d’UBS France de septembre 1999 à février 2012, assistante marketing puis responsable de l’organisation des « événements » où la banque réunissait banquiers et (futurs) clients, elle contestait lundi 7 octobre devant le conseil des prud’hommes de Paris la dégradation de ses conditions de travail chez UBS entre 2008 et 2011.
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