Onet-le-Château (Aveyron), envoyé spécial.- Comment faire face à la chute brutale – bien plus brutale que prévu – de son carnet de commandes, dans un contexte de défiance généralisée à l’encontre de son produit phare ? Depuis le début de l’année, la question donne des sueurs froides aux salariés et à la direction de l’usine Bosch de Rodez (Aveyron), qui produit exclusivement des éléments de moteurs Diesel. Au-delà, c’est tout le département qui s’inquiète : l’apport économique de l’usine et de ses 1 500 salariés est irremplaçable pour ce territoire rural et peu industrialisé, où seul l’hôpital public emploie plus de monde.
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