Aéroport de Toulouse: Macron rattrapé par son mensonge
Les investisseurs chinois qui gèrent depuis un an l'aéroport de Toulouse-Blagnac veulent siphonner la trésorerie de l'entreprise pour se servir un dividende exceptionnel. Emmanuel Macron, qui avait juré qu'il ne s'agissait pas d'une privatisation, se retrouve piégé par son mensonge.
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LaLa cascade de scandales auxquels avait donné lieu voici un an la privatisation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac au profit d’investisseurs chinois risque de bientôt connaître un nouvel épisode. Car, au mépris des engagements qu’ils avaient pris, les nouveaux actionnaires veulent siphonner les réserves financières de la société pour se servir un important dividende. Mais ce ne sera possible que si l’État, à l’occasion d’une assemblée générale des actionnaires convoquée pour le 28 juin prochain, y consent.