Fondateur en 2018 d’un groupe de « youtubeurs » opposés aux pratiques opaques de la plateforme qui assure leurs revenus, Jörg Sprave s’est associé au puissant syndicat allemand IG Metall pour porter leurs revendications. La filiale de Google a accepté vendredi de les rencontrer.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
JörgJörg Sprave avait sorti l’artillerie lourde en s’associant avec IG Metall, le principal syndicat allemand (et européen), fort de 2,3 millions d’adhérent·e·s, pour faire pression sur YouTube, la plateforme de partage de vidéos de Google. Et vendredi 23 août, l’opération a commencé de porter ses fruits. Arguant de son « fort intérêt pour le succès et la satisfaction des créateurs de YouTube », l’entreprise a proposé un rendez-vous à Berlin à FairTube, l’organisation montée par les youtubeurs et IG Metall, pour discuter de « questions fondamentales concernant l’avenir du travail ».