Selon nos informations, l’enquête du parquet européen visant Edwige Diaz, la vice-présidente du Rassemblement national, soupçonnée d’emploi fictif lorsqu’elle était l’assistante d’un eurodéputé, a été classée sans suite le 5 octobre.
Une enquête préliminaire pour « violences sur conjoint » a été ouverte à l’encontre de l’animateur star de M6 à la suite de deux signalements adressés à la procureure de Paris. Un rassemblement a eu lieu mardi soir devant le siège de la chaîne, où les plusieurs dizaines de manifestantes et manifestants ont réclamé la déprogrammation des émissions de Stéphane Plaza.
Les anciens patrons de la Caisse des dépôts Augustin de Romanet et Jean-Pierre Jouyet vont être jugés pour « favoritisme » et « détournement de fonds publics », et Alain Bauer pour « recel ». L’enquête judiciaire a révélé le peu d’intérêt pour l’institution des études sur la sécurité vendues par le criminologue médiatique.
Les révélations d’Antoine Champagne, journaliste à Reflets, sur le groupe de cybersurveillance Nexa ont beaucoup énervé l’entreprise, qui a mené une enquête privée sur le journaliste. Il faut « mettre une bombe » chez lui, plaisante un cadre de Nexa.
Le Vietnam a utilisé le logiciel espion Predator, qui lui a été vendu par le groupe français Nexa, pour mener une vaste tentative de piratages via Twitter. L’eurodéputé macroniste Pierre Karleskind a été visé, ainsi que France 24, la présidente du Parlement européen, des élus américains, des journalistes et des diplomates.
Les premiers éléments de l’enquête auxquels ont eu accès Mediapart et Radio France révèlent que ce jeune Guinéen de 19 ans aurait été tué dans le dos par un policier. Et affaiblissent sérieusement la théorie de la légitime défense.
La DGSE a très étroitement coopéré avec le fabricant d’équipements de surveillance Nexa, pourtant soupçonné par la justice de complicité de torture pour avoir exporté à des dictatures. Nexa avait aussi pour clients plusieurs ministères et services secrets français.
De la surveillance de masse au piratage des téléphones, Mediapart détaille, grâce à des documents confidentiels, les capacités extrêmement intrusives des systèmes d’espionnage vendus par Intellexa et son partenaire français Nexa.
Depuis l’annonce en mai d’une restructuration du fret ferroviaire, les personnels sont dans l’expectative. Tout le monde craint une liquidation de l’opérateur, à l’heure où la réduction des émissions de gaz à effet de serre devrait être une priorité absolue.
Un règlement européen entré en vigueur il y a deux ans devait limiter, au nom des droits de l’homme, la vente de matériel d’espionnage aux dictatures. Mais le texte a été torpillé par les industriels et plusieurs États membres de l’Union européenne, dont la France.
Au terme de quatre jours d’interrogatoire marathon, l’ancien président de la République a été mis en examen pour « recel de subornation de témoin » et « association de malfaiteurs » dans l’enquête sur la fausse rétractation de l’intermédiaire Ziad Takieddine dans le scandale des financements libyens.
La justice a découvert que la société Nexa a vendu en 2020 du matériel de surveillance au maréchal libyen Khalifa Haftar, soupçonné de « crimes de guerre », en violation de l’embargo sur les armes. Mais le procureur antiterroriste et le ministre de l’économie ont entravé l’enquête judiciaire.
Sur l’île française où l’eau manque deux jours sur trois, l’épidémie de gastro-entérite galope, et d’autres maladies liées à l’eau menacent. L’hôpital, abîmé par les multiples crises qui frappent le département, ne peut plus soigner dignement les habitants.
Après un contact direct avec le président Macron, la société française de cybersurveillance Nexa a utilisé Alexandre Benalla comme intermédiaire pour tenter de vendre des logiciels espions à l’Arabie saoudite, malgré l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Un an et demi après la découverte de ces faits très embarrassants pour l’Élysée, l’enquête judiciaire traîne.
L’enquête internationale « Predator Files », menée par Mediapart et ses partenaires, révèle les méthodes sans scrupules des sociétés Nexa et Intellexa, qui ont vendu des logiciels espions à de nombreuses dictatures, avec le soutien, voire la complicité, de la France.
En juillet, l’Ademe a accordé 5 millions d’euros au pétrolier pour un projet de récupération de chaleur de la plus grande raffinerie du pays, près du Havre. Édouard Philippe, maire de la ville normande et proche du président d’alors de l’agence, a appuyé le dossier auprès de l’organisme public.