Cynthia, 37 ans, se bat pour faire reconnaître les violences que lui a infligées son ex-conjoint, mais aussi pour le bien-être de leur enfant. Face à l’attitude de plusieurs policiers, et à des procès-verbaux qu’elle juge « mensongers », elle a saisi l’IGPN et le ministère de l’intérieur dès 2018.
Alain Griset fait l’objet de deux enquêtes judiciaires pour ne pas avoir déclaré à la Haute Autorité de la transparence de la vie publique un plan d’épargne en actions, sur lequel il a effectué des opérations suspectes.
Au Maroc, le journaliste Imad Stitou, qui témoigne d’une « relation consentie » entre son confrère Omar Radi et la jeune femme qui l’accuse de viol, comparaît mercredi 25 novembre devant le juge d’instruction. Il est à son tour poursuivi pour « complicité de viol ». Suite de l'enquête de Mediapart et l’Humanité.
Alors qu’un animateur d’une école maternelle parisienne a été suspendu après des accusations de violences sexuelles sur des enfants, des parents estiment avoir eu « zéro écoute » des institutions (justice, école, mairie).
Treize enfants d’une école maternelle parisienne ont été auditionnés dans une enquête pour « agression sexuelle et viol sur mineurs » visant un animateur. Classé sans suite après seulement trois mois d’investigation, ce dossier a été rouvert et confié à une juge d’instruction. Notre enquête révèle des dysfonctionnements majeurs et des refus d’enregistrement de plaintes.
Depuis nos premières révélations sur Avenir Lycéen, le ministère de l’éducation assure ne jamais avoir entretenu de relation « politique » avec ce syndicat pro-gouvernement. Une réunion et des échanges impliquant directement le ministre prouvent le contraire.
Deux producteurs français, et deux collaborateurs, ont été mis en examen pour « viols », « proxénétisme aggravé » et « traite d’êtres humains aggravée ». Dans leur ombre, les leaders du secteur : Dorcel et Jacquie & Michel. Mediapart révèle le contenu des réquisitions du parquet.
Archivée dans le dossier d’instruction sous l’intitulé « COMMUNICATION 47 », il s’agit de l’écoute qui, de sources judiciaires, « tient » le dossier « Bismuth » et a permis de consolider les charges justifiant le premier procès de Nicolas Sarkozy et ses deux coprévenus. Voici pourquoi.
Tortures, déportations, campagne de « rééducation », travail forcé, violences sexuelles, stérilisations et avortements massifs sous la contrainte… L’ampleur et la sophistication de la répression de la minorité musulmane par le pouvoir chinois sont de plus en plus documentées.
L’attitude de la police de l’Uttar Pradesh, qui a brûlé le corps d’une intouchable de 19 ans tuée après avoir été violée, sans le consentement de la famille, laisse planer des soupçons de connivence avec les auteurs. Les violences envers cette cette classe sociale défavorisée se multiplient en Inde.
Mediapart publie les écrits qui prouvent que le ministère a été informé des dérapages financiers au sein d’Avenir Lycéen. Malgré cela, la rue de Grenelle n’a pris aucune mesure, renouvelant une subvention, suspendue après nos révélations.
Les plus précaires sont les premières victimes de l’épidémie. L’État, les autorités de santé et les élus tentent de répondre à ce constat cruel, alors que la France prend peu en compte les inégalités sociales en matière de santé publique. Mais la crise sanitaire bouleverse les équilibres. Faut-il mettre en place des mesures ciblées dans les quartiers?
L’intermédiaire a été écroué deux semaines au Liban avant la publication de son interview par Paris Match et BFMTV. La procédure a été intentée par un cabinet d’avocats qui ne cache pas sa proximité avec Les Républicains et Nicolas Sarkozy, mais plaide la « coïncidence ».
Ancien président de l’Assemblée permanente des chambres de métiers, le ministre des PME Alain Griset a été épinglé dans un rapport confidentiel de la Cour des comptes pour ses indemnités confortables, dont il n’avait pas déclaré une partie aux impôts.
Plusieurs entreprises françaises spécialisées dans la formation militaire entraînent, y compris dans l’Hexagone, des officiers de l’armée saoudienne. Une activité qu’elles n’ont pas arrêtée depuis le début de l’intervention militaire au Yémen. Bien au contraire.
Dissous en 2019, le Bastion social, groupuscule d’extrême droite violent, s’est renforcé, passant de six à une quinzaine d’antennes locales. Une procédure judiciaire est en cours pour « reconstitution de groupement dissous ». Révélations.