Violences sexistes et sexuelles Enquête

À la Fédération de judo, on peut faire carrière malgré des signalements de violences

La Fédération française de judo conserve depuis plusieurs mois parmi ses cadres dirigeants un entraîneur visé par une enquête judiciaire pour des violences sur d’anciens élèves et un second qui aurait ignoré des signalements pour agression sexuelle. 

Clément Le Foll et Grégoire Fleurot

1 avril 2023 à 19h04

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Élu fin 2020 à la tête de la Fédération française de judo et disciplines associées (FFJDA), Stéphane Nomis a érigé la lutte contre les violences, notamment sexuelles, en priorité absolue. « Il faut libérer la parole et surtout sortir de l’omerta », annonçait-il pendant sa campagne électorale, alors que son sport, l’un des plus importants de France en nombre de licencié·es, était secoué par des révélations visant plusieurs entraîneurs. Depuis, la page d’accueil du site internet de la fédération affiche un imposant bouton rouge « Alerte dérives judo »

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal