Tarnac: la police antiterroriste avoue une «erreur» et des «distorsions»
Les limiers de l'antiterrorisme ont bien du mal à justifier les procès-verbaux qui ont envoyé le «groupe de Tarnac» en prison. Retour sur des invraisemblances qui ont conduit Julien Coupat à passer six mois derrière les barreaux.
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En décembre 2009, Mediapart avait détaillé les invraisemblances de l'enquête policière sur «l'ultra-gauche» qui avait conduit Julien Coupat à passer six mois en prison. Procès-verbal de surveillance en mains, nous avions refait les trajets de la filature du chef supposé du «groupe de Tarnac» par les limiers de l'antiterrorisme. Histoire de démontrer que le minutage minutieux de leur surveillance et que leurs observations dûment consignées ne tenaient pas la route. Une enquête pour illustrer les impossibilités factuelles de ce PV qui reste la pièce centrale de l'accusation visant à impliquer les jeunes de «Tarnac» dans le sabotage de lignes TGV (à lire ici).
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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