Ce pouvoir ne veut décidément rien entendre. En réponse au mouvement des « gilets jaunes », il a beau avoir dit qu’il serait désormais à l’écoute du pays et qu’il tiendrait compte des critiques qui lui sont adressées, il continue à n’en faire qu’à sa tête. Et ce qui est vrai de la politique sociale l’est tout autant des privatisations : ses projets ont beau être très vivement contestés, il n’entend pas moins les mener à bien.
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