A Rouen, la colère des habitants face à l’opacité de l’Etat

Mardi 1er octobre, plusieurs milliers de Rouennais se sont rassemblés pour réclamer des réponses sur la pollution provoquée par l’incendie de Lubrizol. Le préfet de Seine-Maritime a de nouveau répondu par le mépris : il n’était pas présent pour recevoir les représentants des manifestants. 

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Rouen (Seine-Maritime), de notre envoyée spéciale. - Cinq jours après l’incendie sur le site de l’usine chimique Lubrizol, classé Seveso, la peur a fait place à la colère face à la gestion chaotique par la préfecture et le gouvernement de la crise sanitaire qui se profile.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal