Un communiqué lapidaire, trois sourires crispés devant les caméras, et puis s’en va. Christophe Castaner a fait le strict minimum lorsqu’il s’est agi de commenter l’ordonnance que le Conseil d’État a rendue publique vendredi 31 janvier. Et pour cause, les décisions de la plus haute juridiction administrative française concernant sa circulaire sur le « nuançage » des listes aux élections municipales (voir sous l’onglet Prolonger) sont aussi claires qu’indiscutables : il faut quasiment tout revoir.
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