« Il n'y aura ni angélisme, ni course effrénée aux chiffres », avait promis Manuel Valls le 17 mai 2012 à son arrivée place Beauvau, sonnant le glas de la « politique du chiffre ». « Cela n'a pas grand sens de déterminer en début d'année un pourcentage de baisse de la délinquance à obtenir impérativement ou un taux d'élucidation global à atteindre, avait ensuite expliqué l’ancien ministre de l'intérieur devant une promotion de nouveaux commissaires. Cette approche a pu conduire à des stratégies d'action ne correspondant pas aux vraies priorités de terrain, et parfois à faire perdre de vue la réalité du métier de policier. »
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