Justice

Au tribunal, une petite « guerre des polices » se conclut par une relaxe

Soupçonnés d’avoir prévenu leur informateur qu’il était visé par une enquête, deux policiers de la brigade des stups ont finalement été relaxés mardi. Ils écopent de 500 euros d’amende chacun pour des consultations de fichiers à des fins personnelles. 

Camille Polloni

Le major Yoann D. et le capitaine Matthieu F. peuvent souffler. Mardi 3 décembre, le tribunal correctionnel de Paris a relaxé ces deux policiers des stups poursuivis pour violation du secret de l’enquête. 

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