Mediapart et l'hebdomadaire belge Le Vif révèlent un accord confidentiel conclu en février 2015 entre Tariq Ramadan et une femme qui avait commencé à faire état sur Internet de leur « relation » et de son « emprise » psychologique. Moyennant le versement par l'islamologue de 27 000 euros, elle a retiré toutes ses publications, et accepté de taire ses accusations.
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C'est un document qui n'a pour l'instant pas été versé au dossier judiciaire, mais auquel Mediapart a eu accès. Tariq Ramadan a passé, en février 2015, un accord avec une quadragénaire belge qui avait commencé à faire certaines révélations publiques sur son comportement avec des femmes, selon les informations de Mediapart et de l'hebdomadaire belge Le Vif. Cet accord, entériné devant la justice belge, prévoit notamment la suppression de publications sur Internet et une clause de confidentialité, moyennant le versement par l'islamologue suisse d'une somme totale de 27 000 euros. Contactés, les avocats de Tariq Ramadan n'ont pas souhaité répondre à nos questions.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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