De la Nouvelle-Calédonie à la Kanaky, un long chemin vers l’indépendance

Nouvelle-Calédonie : dynamique indépendantiste, victoire loyaliste

Avec une participation en hausse, le « oui » ne parvient pas à l’emporter au second référendum mais progresse presque partout, en brousse comme en ville. La perspective d’une indépendance de l’archipel lors d’un troisième scrutin demeure possible.

Joseph Confavreux et Donatien Huet

180 000 électeurs étaient appelés ce dimanche 4 octobre à répondre à la question : « Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ? » Avec un score de 85,64 %, la participation a connu une hausse sensible (+ 4,63 points) par rapport au premier référendum sur l’indépendance de novembre 2018, qui avait déjà connu une mobilisation historique. À l’époque, le « non » l’avait emporté avec près de 56,67 % des suffrages. Deux ans plus tard, il est à 53,26 %.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter