Vaccins : une course sans fin

Pfizer ou Moderna, plutôt qu’AstraZeneca: les pièges d’une vaccination à la carte

Faut-il laisser les patients choisir leur vaccin ? Celui d’AstraZeneca est boudé par le grand public français comme par les médecins, alors que la Haute Autorité de santé vient d’élargir sa recommandation aux personnes de plus de 65 ans.

Lise Barnéoud

Est-ce vraiment une surprise ? Le vaccin AstraZeneca est boudé. Boudé par des patients, boudé par des médecins, et même par certains hôpitaux qui refusent de l’inoculer à leur personnel. Emmanuel Macron n’avait-il pas jugé lui-même ce vaccin du laboratoire anglo-suédois « quasi inefficace chez les plus de 65 ans » ? Le président a beau être revenu sur ses propos, affirmant jeudi 25 février qu’il acceptera de recevoir ce vaccin lorsque viendra son tour, nombreux sont ceux qui lui ont emboîté le pas. Pour des raisons d’efficacité mais aussi d’effets secondaires, font-ils valoir.

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