Devenir indépendant, rester dans le giron français ou inventer une voie intermédiaire. Un peu plus d’un an avant le référendum historique programmé en novembre 2018 sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie, française depuis 1853, les représentants des différents camps, avec toutes leurs nuances, se sont retrouvés mercredi 4 octobre à la tribune de l’Organisation des Nations unies (Onu) devant la commission de la décolonisation qui se tient, comme chaque année en cette saison, à New York.
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