De notre envoyée spéciale entre Nice (Alpes-Maritimes) et Marseille (Bouches-du-Rhône).– Fin d’après-midi à la gare de Toulon (Var). À l’heure de la sortie des bureaux. Les voyageurs fourmillent entre les bornes jaunes de la SNCF. Ils regardent leur montre, leur téléphone portable. Soupirent. Certains s’engouffrent dans le tunnel qui dessert les différents quais. Mais la plupart sont comme figés, bras croisés et tête levée, le regard perdu sur les écrans qui annoncent les prochains départs de TER à destination de Marseille, Nice ou Vintimille, à la frontière franco-italienne.
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