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Le quartet de Labarrière, «comme une façon de vivre autrement»

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Désordre est le nouvel album de la contrebassiste Hélène Labarrière. Une musique d'une grande liberté, où le quartet est pensé comme une formation... politique. Entretien vidéo.

Patrick Artinian

C’est le 19 février dernier lors d’un concert à Saint-Mandé à l’occasion du festival Sons d’hiver qu’Hélène Labarrière et son ensemble ont présenté Désordre, leur nouvel opus. Deux albums en dix ans avec son quartet, c’est peu, autant dire que l’on attendait beaucoup. On ne fut pas déçu. L’ensemble a magistralement occupé tous les terrains, du groove le plus débridé jusqu’à l’introspection, avec en prime une version de La Chanson de Craonne et une perle de vitalité, Montreuil Mali. De la musique d’une grande liberté, « où tous les chemins sont possibles, sans qu'il y ait un chef et des suiveurs », nous explique-t-elle. Une façon de montrer « que l'on peut socialement vivre autrement ».

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