Éducation et enseignement supérieur

Classes fermées, baisse des moyens : sur le terrain, l’argument démographique ne passe pas

Pourquoi n’avoir pas utilisé la baisse démographique pour redonner un peu de souffle à l’Éducation nationale ? C’est la question que posent enseignants et parents au ministère, après l’annonce de très nombreuses fermetures de classe en primaire, et au regard de la baisse continue des moyens au collège et au lycée.

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À la rentrée 2023, le ministère de l’éducation nationale prévoit de supprimer un peu plus de 2 200 classes dans les écoles primaires françaises (soit 1 117 emplois en moins), sauf arbitrages de dernière minute. Un choix « inédit, et assez sanglant », pour la porte-parole du SNUipp-FSU, Guislaine David. Les mobilisations mêlant enseignant·es, parents d’élèves et élu·es se multiplient contre ces fermetures, surtout dans les régions les plus touchées, dans le nord de la France, en Normandie, à Paris et sa banlieue, mais également en zone rurale ou périurbaine, comme en Bretagne.

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