Après la mort de Nahel, la révolte et la répression des quartiers populaires

Au Sénat, Gérald Darmanin juge qu’« une part de la population est complice de sa progéniture »

Auditionné mercredi au Sénat sur les violences qui ont suivi la mort de Nahel, le ministre de l’intérieur a écarté toute réforme de la loi de 2017 fixant le cadre de l’usage des armes à feu par les policiers. « Ce n’est pas parce qu’un policier ne respecte pas la loi qu’il faut changer la loi. »

Jérôme Hourdeaux

Malgré les appels à une réforme de la législation encadrant l’usage des armes à feu par les policiers, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a une nouvelle fois balayé, mercredi 5 juillet, toute modification de la loi de 2017 fixant le cadre législatif en vigueur.

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