Le massacre est sans précédent. Les assassins de l'esprit qui ont ciblé Charlie Hebdo s'en sont pris au cœur de ce qui constitue la démocratie, la liberté de la presse et, au-delà, nos libertés individuelles et collectives. Ses conséquences sont, à ce stade, incalculables.
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Douze morts, onze blessés. Une rédaction froidement massacrée, deux policiers tués. L'attentat commis par un commando de trois hommes contre Charlie Hebdo est bien « le jour le plus noir de la presse française », comme le dit Reporters sans frontières. C'est un acte sans précédent, un acte jamais survenu en France ni dans le reste du monde. C'est un acte de terreur – le plus meurtrier depuis cinquante ans – dont les premières victimes sont les membres de l'équipe de Charlie Hebdo. À travers eux, c'est un journal qui est mis à terre et un journal qui, depuis sa création en 1969, a été l'un des emblèmes de nos libertés.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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