Gauche(s) Entretien

Olivier Faure : « Je ne veux ni le chaos ni la confusion »

Procès en trahison du reste de la gauche, difficile chemin de la suspension de la réforme des retraites, risque de renforcer l’extrême droite : quelques jours après le choix de la non-censure, le premier secrétaire du Parti socialiste s’explique sur le « pari » de son mouvement.

Mathieu Dejean, Pauline Graulle et Ilyes Ramdani

Dans son bureau de Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne), où il nous reçoit vendredi 17 octobre, Olivier Faure revient longuement sur le choix de la non-censure. Une décision qu’il n’a « pas prise seul » et sur laquelle il s’est « beaucoup interrogé », dit-il. Mais qu’il assume. « Le choix de la facilité, c’est la posture, assure le premier secrétaire du Parti socialiste (PS). Celui de la responsabilité est souvent le plus compliqué. »

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