Crise à la Fédération française de tennis Enquête

Tsunami social sur Roland-Garros

Départs volontaires ou contraints de 112 salariés sur 400 ; tractations secrètes avec le Qatar sur les droits TV ; emplois offerts à des proches ; rémunération exorbitante d’Oudéa-Castéra : le nouveau président de la fédération de tennis, Gilles Moretton, fait l’objet de vives critiques.

Laurent Mauduit

Quiconque suit l’actualité sportive sait que deux grandes fédérations, celles du football et du rugby, traversent une crise à cause des errements ou des fautes de leurs dirigeants. Pointant ces deux fédérations, mais aussi le comité olympique, le journal Le Parisien cherchait récemment à expliquer « pourquoi la gouvernance du sport français est en crise ». Si la question est légitime, elle mérite d’être élargie à la Fédération française de tennis (FFT).

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