Nouveaux éléments sur la libération d'Ingrid Betancourt

De nouveaux éléments viennent fragiliser un peu plus la version officielle, défendue par les autorités colombiennes, des conditions de libération d'Ingrid Betancourt. Alors que sont évoqués les rôles d'un négociateur suisse ou d'un intermédiaire français, ainsi que divers montants de "rançon", Mediapart a obtenu des informations supplémentaires sur le lent processus de négociation qui a permis les libérations d'otages. La saisie des ordinateurs portables de Raul Reyes, ex-responsable des FARC tué le 1er mars, a permis d'accélérer l'opération sur le terrain.

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A son tour, la presse colombienne commence à interroger la version officielle de la libération d'Ingrid Betancourt et de quatorze autres otages des FARC. Emissaire suisse, intermédiaire français, argent versé en échange de la libération... Après les révélations de Mediapart vendredi, et celles de la Radio suisse romande, parlant du versement d'une rançon de « 20 millions de dollars », information fortement démentie par les autorités colombiennes, de nouveaux éléments viennent un peu plus fragiliser la thèse officielle d'une opération armée réussie.

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