Justice Chronique

Au procès de Magnanville, un accusé qui se défend bec et ongles

Accusé de complicité dans l’assassinat d’un couple de policiers, Mohamed Lamine Aberouz n’a besoin de personne pour dénoncer les charges qui pèsent à son encontre. En revanche, il est moins convaincant quand il s’agit de condamner l’État islamique.

Matthieu Suc

Durant plus de neuf heures, il a bataillé sur le fond du dossier, évacuant tantôt des éléments – « Je ne vais pas insister là-dessus, cela n’intéresse pas la période des faits » –, insistant au contraire sur « une autre incohérence que j’ai trouvée dans cette exploitation ». « Grâce à l’accès à la procédure, ça nous a permis d’étayer cet aspect », se félicite-t-il.

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