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Quand les « bonnets rouges » vendent de la contrefaçon

Un responsable d’Armor Lux, entreprise implantée en Bretagne, a reconnu que les 7 500 bonnets rouges, vendus lors de la manifestation du 2 novembre à Quimper, avaient été en réalité importés d’Écosse.

La rédaction de Mediapart

Alors que les manifestants du collectif « Vivre, travailler et décider en Bretagne », à l'initiative du mouvement breton des Bonnets rouges, continuent de réclamer le retrait de l'écotaxe et le droit à produire en Bretagne, l'Humanité révèle, jeudi 7 novembre, que les bonnets vendus lors des manifestations étaient en réalité fabriqués en Écosse. 

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