Libertés publiques

Le ministère de l’intérieur demande la déchéance de nationalité de Kemi Seba

Accusé de racisme et d’antisémitisme dans le passé, l’activiste combat avec virulence la présence française en Afrique. Le gouvernement s’appuie sur un article du Code civil qui n’est plus utilisé depuis 1967.

Rémi Carayol

Le 29 février, Stellio Capo Chichi, plus connu sous son nom d’activiste, Kemi Seba, a fait savoir à sa communauté, très large sur les réseaux sociaux (1,3 million de followers sur Facebook, 297 000 sur Instagram, 250 000 sur X), qu’il était visé par une procédure engagée à son encontre pour lui retirer sa nationalité française, sur le fondement d’un vieil article du Code civil, l’article 23-7, qui n’avait plus été utilisé depuis cinquante-sept ans.

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