Depuis quinze ans, c’est la même pièce qui se joue dans le petit théâtre du Front national : la brouille publique entre les Le Pen père et fille, le plus souvent après que Jean-Marie Le Pen a livré l’une de ses analyses sur la Seconde Guerre mondiale, le régime de Vichy, ou l’Holocauste. C’est à nouveau ce qui s’est passé cette semaine. Mais cette fois-ci, Marine Le Pen n'a pas exclu des sanctions et a annoncé qu’elle s’opposerait à la candidature de son père en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Un coup cadré et gagnant, ou un vrai risque politique ?
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous