Danielle Auroi l'avoue : elle ne sait plus quoi penser. Fin août, juste après l'attaque chimique à Damas attribuée à Bachar al-Assad, la présidente écologiste de la commission des affaires européennes à l'Assemblée nationale soutenait une riposte militaire en Syrie. Désormais, elle est rongée par le doute.
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