Offres rares, loyers chers : face à la crise du logement étudiant, l’État à la rue
Le grippage du marché du logement rend la recherche d’un toit encore plus difficile pour les étudiants en cette rentrée. L’absence de véritable politique publique sur le sujet est un affront fait à la jeunesse, dénoncent les organisations étudiantes.
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LeLe calvaire se répète désormais à chaque rentrée. Des annonces qui disparaissent en quelques minutes, à des prix de plus en plus indécents, comme ce « magnifique T2 de 20 m2 » à 1 100 euros par mois dans le nord de Paris ou ce « grand studio » de 25 m2 à Lyon pour 1 130 euros par mois. Même en ayant anticipé depuis des mois, trouver un logement pour les étudiants n’a jamais été aussi ardu qu’en cette rentrée.