Procès de la corruption dans le rugby : Bernard Laporte ne voit pas le problème
Au tribunal correctionnel, le président de la Fédération française de rugby nie farouchement avoir pu être acheté par le propriétaire du club de Montpellier, malgré la signature d’un contrat d’image de 180 000 euros.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
L’aprèsL’après-midi n’avait pas trop mal commencé pour Bernard Laporte, jeudi 8 septembre au tribunal judiciaire de Paris. Après de prévisibles banderilles procédurales posées la veille par des avocats, puis un résumé du dossier de corruption qui lui vaut de comparaître avec quatre autres prévenus devant la 32e chambre correctionnelle, l’actuel président de la Fédération française de rugby (FFR), qui jusque-là battait nerveusement de la semelle sur son banc, a enfin pu se lever et prendre la parole. Une audition très attendue (on ignorait qu’au même moment, la reine d’Angleterre était en train de trépasser).
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.