Ces féministes qui rêvent de conquérir la politique
Issue d'une nouvelle génération de militantes, l'association Osez le féminisme veut tisser des liens étroits avec les partis de gauche. Au risque de l'instrumentalisation.
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DébutDébut décembre, «Planning familial» du XIe arrondissement sous la neige. A l'intérieur, environ 70 personnes, en écrasante majorité des filles, la plupart la trentaine, travaillant dans la culture, les médias, comme attachées parlementaires ou encore infirmières, participent à l'assemblée générale mensuelle d'Osez le féminisme! (OLF). Une association créée l'an dernier et qui a depuis le vent en poupe, revendiquant plus de 400 membres, essentiellement à Paris mais aussi dans une dizaine d'antennes régionales.