La sonnerie retentit à 16 h 30 et, quelques instants plus tard, les premiers élèves franchissent le portail qui les sépare de la liberté. La plupart jettent tout juste un regard au véhicule de police garé en biais et aux deux agents en faction, juste devant la grille de leur établissement. La force de l’habitude, déjà ? Depuis lundi matin, la police assure la surveillance visible du lycée de La-Plaine-de-Neauphle, un établissement tranquille du centre-ville de Trappes (Yvelines).
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