C’est un mot, lâché parmi tant d’autres, mais qui ne cesse, depuis quelques semaines, de nourrir des commentaires. À l’occasion de sa rentrée politique, Jean-Luc Mélenchon a introduit dans son discours public la « créolisation », une notion empruntée au poète martiniquais Édouard Glissant (1928-2011), qui désignait ainsi la fabrique « d’une culture ouverte et inextricable », à rebours de « l’uniformisation par les grandes centrales médiatiques et artistiques ».
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