Tout semblait réuni pour que survienne le pire : un prétendant à la présidentielle mis en examen pour « corruption » (Nicolas Sarkozy), un favori mis en examen pour « détournement de fonds publics » (François Fillon), un parti renvoyé en correctionnelle pour « complicité d’escroquerie » (le FN de Marine Le Pen), un outsider contraint de faire campagne sans un centime d’argent public (Emmanuel Macron)…
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