Le système nucléaire français provoque une controverse européenne. En quelques semaines, plusieurs demandes d’arrêts de réacteurs sont venues de pays frontaliers : la ministre allemande de l’environnement, Barbara Hendricks, a publiquement souhaité la fermeture de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin). Quelques jours plus tard, la maire de Genève, Esther Alder, a exigé celle du Bugey (Ain). Et le Luxembourg a saisi la Commission européenne du cas de la centrale de Cattenom (Moselle).
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous