Dans la foule anonyme place de la République, samedi 13 juin, ils sont encore peu nombreux à convoquer l’expression spontanément, au micro des journalistes. Mobilisés contre les violences policières et le racisme à l’appel du comité Adama, quelques manifestants n’ont même jamais entendu parler du « privilège blanc ». Mais, globalement, le concept séduit énormément. « C’est simple, basique ! », sourit Ibrahim, 20 ans.
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