Avec les municipales, la surenchère sur la vidéosurveillance repart

Vingt-cinq ans après sa légalisation, la vidéosurveillance s’est généralisée, des grandes villes aux plus petits villages. C’est le constat d’une enquête menée par Mediacités sur plus de 200 communes. Des nouvelles technologies, inquiétantes, font leur apparition.

Maxime Fayolle, avec Emmanuel Riondé (Mediacités)

14 février 2020 à 19h23

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Il a fallu les chercher… Sur les 215 communes des métropoles de Lille, Lyon, Toulouse et Nantes que Mediacités a passées au crible (lire sous l’onglet Boîte noire), seules une cinquantaine – en grande majorité des bourgades de moins de 5 000 habitants – ne sont pas équipées en caméras de vidéosurveillance. Pas encore. Car ce chiffre est en constante et rapide diminution. Plusieurs d’entre elles envisagent de se doter de dispositifs dans les prochains mois, une fois les élections municipales passées. D’autres, déjà pourvues, planifient de nouvelles installations. Bref, la vidéosurveillance se porte bien, merci pour elle.

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