La panthéonisation de l’avocate et militante féministe Gisèle Halimi, engagée aux côtés du FLN pendant la guerre d’Algérie, nécessite encore une « réflexion », selon l’Élysée. « Il faut écouter les uns et les autres », dont les collectifs de « femmes d’harkis » qui s’y opposent.
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«Il«Il n’y a pas d’hésitation. Il y a une réflexion et des consultations. » Vingt-quatre heures après la publication d’un article de France Inter, selon lequel Emmanuel Macron pourrait renoncer à la panthéonisation de Gisèle Halimi, en raison de son engagement aux côtés de militants du FLN (Front de libération nationale) pendant la guerre d’Algérie, l’Élysée tempère. « Rien n’est décidé », indique l’entourage du président de la République. Rien si ce n’est que l’hommage national, promis par ce dernier, aura bien lieu aux Invalides, à une date qui reste encore à déterminer.
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