Violences contre les «gilets jaunes»: la police des polices officialise le déni

La directrice de l’IGPN a justifié l’absence de sanctions visant des policiers auteurs de violences, jugeant qu’à ce jour « aucune enquête n’a permis de conclure que la responsabilité d’un policier ». Son bilan jette un doute sur son impartialité, selon l’avocat spécialisé Me Arié Alimi.

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L’impunité, d’ordinaire, est une machine silencieuse. Cette semaine, elle est sortie du bois. Brigitte Jullien, la directrice de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) depuis janvier dernier, l’a parfaitement incarnée, en justifiant lors d’un point presse, puis d’une interview au Parisien, l’absence totale à ce jour de sanctions à l’égard de policiers auteurs de violences contre des manifestants « gilets jaunes ». La haute responsable a contesté toute violence policière.

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