France Chronique

Croquis. L’échec de Sarkozy-Buisson

Histoire d’une faute historique. Début mars, Nicolas Sarkozy décide de laisser le destin de son parti entre les mains d’un François Fillon hors d’usage, plutôt que de choisir son remplacement par « Juppé-le-Vieux ». Deux mois plus tard, un « Juppé-le-Jeune » entre à Matignon pour achever la démolition de la droite.

Hubert Huertas

L’avènement d’Emmanuel Macron se nourrit d’une série de facteurs externes : échec du hollandisme, allergie au vallsisme, aveuglement de François Fillon, primaires de la droite et du PS qui tournent à la grande lessive, Front national puissant mais en reflux… On ne finit pas de dénombrer les causes du vote par défaut qui a conduit à l’élection du plus jeune président qu’ait connu la République française.

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