Justice Enquête

Les éléments de la DGSI qui ont poussé à la garde à vue de Kemi Seba

Visé par une enquête pour « intelligence avec une puissance étrangère », le suprémaciste noir a passé deux jours en garde à vue. En cause : ses liens avec le groupe paramilitaire russe Wagner. Son avocat dénonce une procédure destinée « à faire taire, à écraser » Kemi Seba.

Matthieu Suc

En août, le suprémaciste noir Kemi Seba brandissait sur le réseau social X la photo du passeport diplomatique que venait de lui octroyer « le général révolutionnaire et visionnaire Abdourahamane Tiani, chef de l’État du Niger ». Un pied de nez supposé (et vendu comme tel) à la France qui, un mois plus tôt, lui avait retiré la nationalité française.

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