Toulouse (Haute-Garonne).– « Quand je l’ai ouvert, j’ai pris une petite gifle, ça m’a fait peur, j’ai attendu un peu avant d’y revenir. » Pour A., éducateur de rue toulousain*, la découverte, mi-février, du nouveau logiciel de recueil de données actuellement à l’essai dans les clubs de prévention de la métropole a été un choc.
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