Les digues n’en finissent plus de sauter. Vendredi 18 mai, le ministre de l’intérieur Gérard Collomb a estimé que le port du voile par une dirigeante syndicale de l’Unef relevait d’une « marque de volonté identitaire », voire de prosélytisme, après avoir évoqué l’attirance de jeunes Français musulmans pour l’État islamique. Une confusion dangereuse dans la bouche d’un des ministres les plus importants du gouvernement, notamment en charge des cultes.
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