France

Meurtre de Mehdi Kessaci : de l’Élysée à l’Assemblée, beaucoup d’émotion, peu de solutions

L’assassinat du frère d’un militant antidrogues à Marseille a remis la lutte contre le narcotrafic au cœur des débats. Hormis l’extrême droite, prompte à la récupération, les forces politiques ont convergé pour dire leur détermination à agir. Passé l’émotion, les propositions nouvelles peinent toutefois à affluer.

Pauline Graulle et Ilyes Ramdani

L’exécutif a tenté, mardi 18 novembre, d’afficher sa mobilisation après le meurtre de Mehdi Kessaci à Marseille (Bouches-du-Rhône). Les autorités en sont désormais certaines, comme l’a déclaré le ministre de l’intérieur Laurent Nuñez : l’homme de 20 ans a été victime d’un « crime d’intimidation » qui visait son frère, le militant écologiste Amine Kessaci, « un acteur qui s’élève contre le trafic de stupéfiants ».

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