Comme un frémissement. Dans de nombreuses universités, des étudiantes et des étudiants se sont organisés, des enseignants ont pris le relais, des présidences ont lancé des formations de leur personnel, et tenté d’améliorer la prise en charge des violences sexuelles et sexistes, jusque-là inexistante.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous